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C'est l'histoire de deux cyclistes, qui partent sans trop vraiment savoir ce qu'ils veulent, mais qui verront bien ce qu

C'est l'histoire de deux cyclistes, qui partent sans trop vraiment savoir ce qu'ils veulent, mais qui verront bien ce qu'il trouveront...

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Rider en Turquie

Sur la cote.. Cette jolie ecole.. Piste cyclable, un front de mer turc. Un de nos sites de campement en campagne On en arrache.

Sur la cote..
Sur la cote.. 
Le septieme jour ils se reposerent !

Quitter Istanbul ne fut pas de la tarte. En effet, laisser une ville de 20 millions d habitants avec des trottoirs de deux pieds de haut, sans vraies bonnes pistes cyclables et auncun espace pour le velo fut une experience eprouvante pour nos corps ! Monter et descendre des trottoirs et rouler sur les voies rapides fit tout un contraste avec la campagne. Evidemment, nous commencions a vivre dehors completement, quel bonheur !

Apres avoir compris la logique turcque de la structure routiere, les petits villages furent notre refuge loin du bruit de la ville qui ne dort jamais. Si les villages sont situes tout pres des villes plus modernes, il nest pas long pour le curieux de se rendre compte que le voyageur y est accueillis differemment. Les hommes sont au cafe du coin, si je peux m
Les femmes ne sont pas tres visibles, soit au champ ou a la maison. Les hommes sont dehors, s occupent a travailler fort. Les fermes sont tres rustiques, les habitants vivant dans des bourgades de quelques maisons, une mosquee et un cafe pas tres loin. Sur notre passage les uns nous klaxonnent pour signifier leur presence, d autres prennent plaisir a discuter et nous montrer le chemin. Sourires et chaleur humaine parcourent cette ruralite empreinte de vallees, monocultures de kolza et autre ble. C est au chant du coq que nous nous reveillons, quand ce n est pas l appel a la priere. Les traverses de chiens et de vaches sont monnaie courante, les chiens (le meilleur ami de l homme ici) etant partout sur les routes ou sur les fermes nous distraient de notre contemplation en essayant d eviter qu ils nous mordent les mollets !

Nos velos tiennent la route, nos jambes se sont faites sur les montees abruptes des multiples vallees traversees, caillasse, sable et asphalte. Notre vitesse augmente de jour en jour, nos corps oubliant la douleur a mesure que la route defile devant nous. Pour ma part j ai invente la methode respiratoire du ''chi bike'' pour passer au travers, ainsi qu une blague desormais celebre ''a chaque montee sa gorgee'' ! Les premiers jours furent exigeants, laissant nos esprit delirer. Mais qu a cela ne tienne, notre route continue, tant de km a manger, tant de choses a voir et de gens a renconter !
Fanny


Comme Fanny le dit si bien, quel bonheur de se retrouver enfin dehors... D'autant plus que la meteo est vraiment genereuse avec nous... Du gros soleil, des temperatures ideales pour rider, un petit vent, juste ce qu'il faut... Juste de quoi prendre en douceur nos premieres couleurs apres la longue, lonnnngue saison hivernale quebecoise de cette annee...
De la garnotte, en veux-tu?? Ayant, a ce moment precis de l'histoire, perdu le contact entre les neurones (nous venons de tirer 90 bornes), je n'ai pas de synonyme franco francais a ce mot, il manque peut-etre au vocabulaire francais de France d'ailleurs... (peut-etre que mon dico plougasto-montrealais aurait une suggestion...)... En tout cas, il s'agit de routes gravilloneuses au possible... Avec en plus des hauts et des bas, a n'en plus finir... Il a fallu parfois aller chercher dans le mental, tant mieux... C'est aussi le but du voyage. Mais bon, cela s'oublie tres vite, quand, au milieu du monde rural turque, nous rencontrons ces villageois, genereux, curieux, spontanes... Entoures de la vie communale, avec chacun son avis sur la direction a prendre quand nous leur demandons notre route, les sourires et les encouragements venant avec... Cela vaut bien le prix de la sueur...

Une des petites aventures dans l'aventure fut la rencontre avec ce directeur d'ecole d'un micro village perdu. Accueullis a l'heure de la recreation, je suis dans son bureau, assistant a ce meme debat intense "du meilleur trajet" (en turque evidemment!) avec le prof, l'intendant et une jeune assistante, Fanny, dehors, a jouer avec les enfants, a se faire doucement niaiser pour son accent croche... Il est fort probable que Fanny soit la premiere ambassadrice quebecoise dans plusieurs de ces villages...

Bref, tout ca pour dire que tout va bien... Pas plus de temps pour rediger d'autres articles, nous en aurons d'ici quelques jours je pense...

Nous sommes actuellement (18/04) en Grece, a Kavala.

 

Firas, toute une rencontre...

Do you remember? Taxi from Istanbul (fm) Two friends in a ferry (fm)

 
Comme prevu, nous redigeons un article pour cette personne rare...

A notre arrivee nous sommes donc accueillis a bras ouvert par Firas, qui seulement eu vent de notre venue quelques jours auparavant.. Et franchement, nous ne saurions dire a quel point cela nous a aide pour partir cette aventure.. Mais d`abord un peu de presentation...

Firas est un syrien de 31 ans qui a du fuir son pays car il avait tendance a "un peu trop l`ouvrir" au gout du regime.. Quand je dis ca, c`est qu`il est alle dans la rue manifester et par apres, a organise des collectes d`ordures dans son quartier (il semble que la salubrite y diminuait..), cela a alors ete interprete comme une organisation "anti-gouvernemantale". 
Manifester sous ce regime, et surtout contre ce regime, c`est voir des gens tomber sous les balles de snipers, c`est se faire tabasser, se faire emprisonner... Firas a gouter a 1 mois de prison au total, avec tout ce que vous pouvez imaginer d`un tel regime (dont vous connaissez toute la "bienfaisance" envers son peuple) et bien plus encore...
Bref, il lui a fallu fuir le pays.. Il a donc ete accepte par la Russie pendant 2 ans.. Vivoter durant tout ce temps, dans un pays dont on ne connait pas un mot, cela demande pas mal de debrouillardise... Et puis par la suite, son delai de presence expirant le voila arrive en Turquie depuis quasiment 2 ans egalement.. Rebelote, toute une langue a reapprehendre, un mode de vie a repenser, une situation a re-installer... avec 300 dollars. Ca commence par le minimum vital... Vivre dans la rue un temps, trouver des petits emplois, une colocation (avec ses conditions, facile "d`exploiter" quelqu'un dans le besoin, surtout CES besoins) et repartir de plus belle.

Le plus incroyable dans tout ca, Firas ne se plaint pas, a aucun instant, il ne s'appitoie pas sur son sort, son histoire, il nous la raconte a mesure que nous le questionnons. Il n'y a pas de place la pour de l'empathie selon lui. C'est la vie, elle comme ca, on avance avec...

Maintenant Firas a son appartement, il travaille pour le compte d'une organisation qui tente de developper des activites sociales locales dans son pays ravage par la guerre. Le triptyque Al-Assad/EI/rebelles semble etre embrase pour longtemps, d'autant plus que le regime semble utiliser bien comme il faut les uns contre les autres en se legitimant sur la scene internationale. Bref je ne suis pas expert, mais c'est une grosse misere la-bas...

Firas a toujours insiste pour que nous nous mettions a l'aise, nous payait la traite bien plus que necessaire, nous cuisinait avec plaisir de bien bons repas... Il nous a meme donne de l'argent pendant notre depart precipite...

Firas, une personne exceptionnelle, dans un monde tordu.. Sa mapemonde accrochee a l'envers dans son salon en temoigne.

Je ne sais quand nous nous reverrons mon ami, ni ou, ni comment. Mais je sais deja, que malgre tout ce que je pourrais donner, cela ne sera jamais assez pour egaler tout ce que tu as fait pour nous... Merci.

Firas a encore le droit a encore une annee et demi en tant que "refugie" en Turquie, apres... deux options, l'Iran ou la Coree du Nord. Mais ca, ce sera pour apres dans le sourire de Firas...


English version (with my english level... sorry):

As expected, we write an article for this rare person ...

Upon our arrival we're greeted with open arms by Firas, who only knew that we will arrive a few days ago .. And frankly, we can not say how he helped us to start thhis adventure .. But, to begin, just a little presentation ...

Firas is a 31 year old Syrian who had to flee his country because he had a tendency to "say too loudly" what he was thinking... As "saying to loudly, I mean that he has gone to the streets and protest by after, has organized trash collections in his neighborhood (it seems that the healthiness decreased in there..), this has been interpreted so as an  "anti-gouvernement" organization...
Manifestint under this regime, and especially against this regime, is also seeing people fall under sniper bullets, is being beaten, being imprisoned ... Firas went in prison for a month in total, with all you can imagine with this regime's condtions (which you know all the "charity" to its people) and much more ...
So, he had to flee the country .. He has been accepted by Russia for 2 years ..all along this time, in a country where you do not know a word, it requires a lot of resourcefulness ... And thereafter, when his time there expired he went to Turkey for almost 2 years .. once again, "learn" a new language, set a new situation, find a new life-style ... with $ 300 . It starts with the minimum to survive ... Living in the street for a while, find small jobs, roommates (with its conditions, easy "to exploit" someone in need, especially THOSE needs) and start over again .

The most amazing in all this, Firas does not complain, not a single time, he doesn't cry on his fate at all, he told us his story just when we where asking for. There is no place for empathy, he said. That's life, it is lik this, it goes on anyway...

Now Firas has his own apartment, he works for an organization which is trying to develop local social activities in his country ravaged by war. The triptych Assad / EI / rebels seems to be on fire for long, especially since the regime seems to use it properly well against each other,  and to legitimize his action on the international arena. I'm no expert, but it's a big misery out there ...

Firas has always insisted that we put ourselves at ease, he paid us food and drinks more than necessary, he gladly cooked us good meals... he even gives us money during our precipitate departure ...

Firas, an exceptional person in a twisted world .. His world map hanging upside down in his living room into testifies.

I do not know when we'll meet again my friend, and where... or how.... But I know already, that despite all that I could give, it will never be enough to match everything you have done for us ... Thank you Firas.

Firas still has the right to stay one year and a half as a "refugee" in Turkey, after ... two options, Iran or North Korea. But it, I'll see after.. in the smile of Firas ...
Erwan
 
As Erwan told you, we met an incredible person in Istanbul. The only thing I will add is to take this exemple of courage as an inspiration for us all to go further. We will meet again my friend, even I have to go Nepal or North Korea. Big bear hug in return !
Fanny

 

Le Kharma Turc

Petit chat sauvage (r1) Rue (r1) L oeil de la chance ! (r1) Men at the Grand Bazar (R1) Universite (R1)

Petit chat sauvage (r1)
Petit chat sauvage (r1) 
Istanbul 13 ans plus tard ! 

On ne reconnait pas la ville tellement elle a changee ! Comme Erwan l a mentionne, la modernite cotoie le traditionnel, meme si l on sent que le traditionnel tend a etre de plus en plus evacue. On entend toujours l appel a la priere 5 fois par jour, mais on a l impression d une musique radiophonique, les gens n y pretant pas vraiment attention. L acceuil est tout aussi chaleureux, d autant plus qu on fait rire les gens avec nos accents francophones ! Merhaba (bonjour) dis-je ! Teshekoraderem (merci) dit l autre ! Deux frenchies en cavale ! 

Faux depart. Leve a 8h..... Jour de pluie, jour de folies ! Notre premiere journee d escapade en velo s est renversee en visite impromtue d Istanbul a velo ! Trouver une bombonne de gaz ici releve d une prouesse nationale ; sommes-nous les seuls a faire du camping en Turquie!? Il faut savoir, pour les non inities, qu ici, chaque rue a sa specialite ! On s en rend compte assez vite. La rue des vendeurs de peinture, la rue des vendeurs de protheses, la rue des vendeurs de livres... Ou pouvait bien etre la rue du camping sauvage ?? Rencontre d un couple turc au Carrefour (non, pas le Carrefour du Nord, HAHA !), parlant francais et anglais, lui ancien vendeur de bombonnes !! WOW quelle chance ! On part sous la pluie a la recherche du fameux Akmar Passaji, un marche pas tres loin, mais dont nous ne connaissions l existence. Bourrasques et rafales de vents au milieu de la circulation turque n auront jamais raison de nous qui continuons. On carbure a la vitesse, aux angles morts entre taxis et bus communautaires qui klaxonnent ! Excitation et joie ! 

Akmar Passaji trouve ! Bingo ! Je garde les bikes..... et attend Erwan.... longtemps ! Sa crete aura-t-elle eu raison de lui ? Et s il s etait fait prendre dans un guet-apens?? Mais non ! Il revient avec deux bomnonnes turques !!! Ye ! Nous avons trouve le quartier du camping ! 

Pour une rare fois j ai demande shutup (vin !) aux gens, mmm du bon vin turc ! Un regal avec ce que Firas qui nous a attendu nous a prepare pour diner ! Genial ce mec, on ne le repetera jamais assez, Istanbul aurait ete non pas catastrophique sans lui, mais completement differente, voire chaotique. Une inspiration pour nous tous. 

L oeil de la chance nous epie, il nous regarde tranquillement. Les chats et les chiens cohabitent, le the toujours aussi rassurant, les sourires s illuminant lorsque nous parlons turc. Demain soleil selon le meteorologue, cet amant de longue date ne nous ment pas j espere ! Ce faux depart nous a permis de nous reposer encore plus, et de nous preparer encore mieux, nous n aurions pas ete aussi efficace en partant aujourd hui. Le sage a parle, deux tetes valent mieux qu une, on est contents d etre ensemble, partageant la meme excitation.

Je vous laisse sur une legende turque qui m a ete contee a mon arrivee. Dans les annees 40 il y avait trop de chiens errants dans la ville. Les autorites deciderent de les amener sur une ile et de les tuer. Peu de temps apres il y eut un gros tremblement de terre. Retour du Kharma. Depuis ce temps les chiens se promenent librement dans les rues, on leur donne a boire et a manger, ils sont tous tagges et le veterinaire s occupe d eux. Les chats ont leur place aussi, des petites niches un peu partout, avec de l eau et un peu de fruits ou de viande. Ils sont mi-sauvages mi-independants.

Istanbul ? Une forme d anarchie remplie de joies et de liberte, chacun vacant a ses occupations, prenant le temps de jaser et de saluer son voisin. Merhaba ! Iyigulner ! Qu a cela ne tienne, demain on prend la route en direction de la Grece ! 

Fanny

 

 

Une histoire de bike qui commence!

Boite a bike (r1) Fanny (r1) Un avant gout de liberte (r1) Premiere ride (r1) Enfin la mer... (r1)

Boite a bike (r1)
Boite a bike (r1) 
Et voila, apres plusieurs peripeties "aeroportuaires", nous nous rejoignons enfin a Istanbul!

Ces peripeties allant du clash a l`enregistrement aux faux depart/mauvaise arrivee (se tromper deux fois d`aeroport en une journee, c`est quand meme fort!!), il y aurait trop a dire la-dessus, aussi aurons nous l`occasion de vous en parler de vive voix le temps venu!

Retrouvailles pour le coup vraiment chaleureuses et rassurantes! Fanny a fait un bon voyage finalement, le velo un tout petit peu moins, rien de tres serieux mais ils n`y ont pas ete avec le dos de la cuillere, une roue de voilee au final.

Tout ceci aurait pu etre vraiment plus problematique s`il n`y avait eu la presence de Firas... Nous en parlerons beaucoup mieux plus tard avec tous les elements que cette rencontre necessitent, mais pour faire court, ce type, que nous ne connaissions pas (gros gros merci a Magenta pour la plug!), a fait deux fois le deplacement pour venir nous chercher a l`aeroport (dont l`une au mauvais aeroport, en pleine nuit, un dimanche soir...), a porte nos bikes a travers la ville, et nous offre tous le confort d`un grand appartement proche du port de Kadikoy... Bref, si nous avons un ange gardien en Turquie, il est assis juste en face de moi en ce moment..

Fait que le second jour s`organise autour du remontage de nos velos, avec les reglages que le voyage leurs demandent. Sur le balcon, a la douce temperature turque, accompagne de quelques rayons de soleil, le voyage commence avec quietude finalement! Le temps passe d`autant plus vite que Firas est un livre ouvert, il a tant d`histoires a nous raconter de par son vecu de voyageur "force"...

Troisieme jour, RIDE DE BIKE!
Les premiers tours de roue, enfin! Ca faisait tellement longtemps qu`on en parlait que ca semble presque irreel... Pedaler le long de la rive stambouliote... LA, on discute! Une vingtaine de bornes pour fignoler les ajustements, faire notre epicerie de voyage et surtout delier les jambes... 

 

Istanbul, noeud de civilisations...

(r1) La Mosquee Bleue (r1) Mosquee bleue, interieur (r1) (r1) (r1)

(r1)
(r1) 
Ce n`est finalement que le quatrieme jour que allons visiter cette ville incroyable elle aussi.

De la vie, partout, ca jase, ca rit, ca crie, ca bouge, bref ca petille d`energie en tout sens. L`activite stambouliote ne s`arrete pas, a toute heure la ville grouille de milles activites, les commerces, qu`ils soient de rues ou non, sont toujours prets a recevoir. Dans mon imaginaire, cette energie est la meme qu`a l`origine... En arpentant les rues du vieil Istanbul, je fais facilement un voyage dans le temps. Innombrables et impressionnantes mosquees , grand bazar, entremelement de rues pavees, l`architecture turque est impressionnante de details et de diversite. Je n`y connais pas grand chose, mais je pense ne pas me tromper en y voyant la un immense heritage byzantin...
C`est aussi et surtout toute la modernite d`une ville du 21eme siecle (avec son metro hi-tech par exemple, ou encore son immense campus universitaire) qui cotoie en permanence le traditionnel. Et cela semble egalement impregner toute la communaute stanbouliote dans toute sa complexite. Le tableau represente toute les couches sociales, un equilibre fraternel entre les differentes generations, la coexistence d`un culte musulman et d`un autre catholique, et j`en oublie surement dans ma vision simpliste des choses. N`en deplaise a certains, je conserve et renforce ici l`image que j`avais de cette ville, et de ce pays probablement, une societe beaucoup plus ouverte qu`on pourrait nous laisser penser, a l`inverse de son gouvernement conservateur.

Tout cela s`accompagne evidemment d`un savoir faire et d`une maitrise visiblement parfaite des arts de la joaillerie, de la tisserie et la gastronomie. Le grand bazar, bien que devenu bien plus touristique depuis la derniere visite de Fanny a Istanbul, offre un bel apercu bien vivant de tout cela. Les echoppes debordent d`articles, d`epices et autres tapis tisses a la main... Bon par contre, il y en a pour tous les gouts... A chacun les siens dirons-nous.

Que dire de l`hospitalite et de cet art de recevoir dont les turques font preuve a chaques rencontres.. Et nous sommes encore dans un contexte citadin.. Ca annonce, bien que nous n`ayons jamais eu de doutes la-dessus, que du bon pour nos premiers kilometres en campagne!
A ce propos nous reculons le depart d`une journee etant donne les seaux qui s`abattent sur Istanbul aujourd`hui.


Veuillez excuser le manque de ponctuation, d`accents ou autres, je tape ces mots sur un clavier russe. Autre chose, soyez indulgents avec la simplicite des articles, ils seront toujours aussi simple que ce voyage, et je n`ai aucune pretention de reporter (d`ailleurs je n`en veux pas), il n`y aura donc pas beaucoup d`informations a se mettre sous la dent, juste du ressenti et un peu de vecu!

 

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